Oui, le bonheur est contenu, comme dans une jarre d’eau pure, il coule en vous-même et n’a de cesse de vous abreuver.
Car de cet élixir de vie vous en redistribuez les miettes au Seigneur.
Et cela est de ces miettes d’or que vous vous élevez vers lui.
Car là, nulle compassion pour les cœurs impurs et tous les cœurs malades.
Et de vos bras, vous entourez ces malheureux pour qu’enfin la grâce de Dieu leur soit accordée.
Faites, enfants bien-aimés, car vous êtes grands dans vos actions quand le cœur en est pénétré.
Et de jouissance de l’âme, vous en devenez grandiose de beauté intérieure qui vous est accordée.
Et la beauté du cœur en deviendra parfaite sans soignure, ni dessein impropres au Seigneur.
Oui, « Vous » ses enfants, participez du fond de votre cœur aimant à ce que l’« Arche nouvelle » voit le jour.
Et pure entre les pures, elle renaîtra de ses cendres, car enfouie au plus profond des âmes ne s’est-elle jamais éteinte.
Et cette étincelle de vie que vous vous octroyez soit votre nouvelle alliance, où les gêneurs de toutes races n’auront plus lieu d’être.
Et enfin, refleurira le sel de la vie future, votre beauté immaculée qui ne demande qu’à revenir en son centre.
Et le bonheur de vous aimer en totalité, en osmose avec le cœur et le corps de vie, vous soient rendus de toutes les splendeurs de « Vivre » et de « Naître ».
Le bonheur ne peut se contenir, telle une coupe d’eau pure elle étincelle dans vos cœurs de tant de passions à vous y vivifier, vous en donnez le meilleur au Seigneur.
Et ses brebis qui hier, étaient galeuses, pourront enfin paître dans les champs du Seigneur au milieu des vaches et des moutons qui sont le pain du monde.
Oui, paissez dans les champs odorants du Seigneur, car là, la grâce vous en enveloppera et vous donnera le meilleur de sa soignure.
Et de sa majesté pourra-t-il vous en couvrir, vous qui étiez nus, comme au premier jour de votre naissance.
Et votre corps pourra respirer enfin de tous ses pores de peau, où nulle déviance ne s’est fourvoyée.
Car pur, vous redeviendrez aux yeux du Père bien-aimé.
Tel un oiseau qui s’envolerait dans un ciel bleu, votre âme pourra communier et chanter l’hymne de gloire de la vie future.
Ô, enfants de la vie, ne soyez pas avares de toutes vos beautés.
Car elles sont là pour vous faire avancer et vous donner le meilleur de la Terre nourricière.
Et de votre vie nouvelle , vous renaîtrez et refleurirez comme au début des temps de toujours .
Aimez-vous, nous vous le dirons jamais assez.
Que vos pas soient légers et fermes sur votre sol bien-aimé.
Donnez lui le meilleur de vous-même.
Amen, soyez en paix, vos fidèles les « Hathors ».
Message des Hathors canalisé par Léna (Jackie Tamisier) le 11. 09. 2012
Papier satiné ivoire 210g
A4 : 210 x 297 mm
Prix final, frais de port non compris